dimanche 23 novembre 2014

Donne du rhum à Johnston…

Je vous en parlais début novembre lors du départ, la vieille canaille de la voile a bouclé la route du rhum en 20 jours 07 heures 52 minutes et 22 secondes de course et finis sur le podium à la troisième position de sa catégorie !

 Vous êtes un sacré marin ; je suis complètement admiratif !


Bravo Sir Robin Knox-Johnston

Bravo Sir Robin Knox-Johnston

Bravo Sir Robin Knox-Johnston

( Photo venant de la page Facebook de la Route du Rhum )

Ce mois-çi : Serge Gainsbourg ; la chanson du jour : Vielle canaille.

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Vieille canaille

C’était pas une canaille, d’abord, mais une volaille, quoique parfois y’a des vieux chez les poulets, comme quoi, mais c’est moins tendre. C’était pas non plus une vieille, mais plutôt une volaille. Parce que la vieille, au four, avec un peu de vin blanc, quelques tomates coupées en deux et quelques oignons, spa mal, bien qu’il y ait tout de même beaucoup d’arêtes, alors qu’hier, c’était un joli et jeune poulet bien dodu qu’on a mis dans le plat, avec quelques poivrons et courgettes, sans arêtes et avec deux sot-l’y-laisse !

Poulet, poivrons et courgettes

C’était bon !

samedi 22 novembre 2014

Les deux sous chics...

Il y a longtemps, mon père avait mis de côté pour ses enfants et plus tard petits enfants des pièces de 10 et 5 francs en argents…

Petit souvenir…

Piéces de 10 francs en argent

Ce mois-çi : Serge Gainsbourg ; la chanson du jour : Les dessous chics.

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Les dessous chics

Les dessous chics, les dessous chics, mais les dessous de quoi d’abord ? Parce que bien sûr on pourrait causer de lingerie, mais pourquoi pas aussi de la mécanique élégante située sous le carénage de ma moto — quoique depuis la dernière révision je consomme deux litres aux cent kilomètres de plus que d’habitude, signe que les dessous sont mal ajustés —, ou bien encore du code d’une application comme Dotclear, …

Le choix est vaste ! Et comme on dit, trop de choix tue le choix, alors quoi ? Hein ?

Clé USB avec Tails 1.2

Passons à autre chose. J’ai testé Tails avant-hier, en préparant une minuscule clé USB — qui est d’ailleurs maintenant dans mon porte-monnaie —

Démarrage de Tails 1.2

C’est super bien fichu et j’ai pu démarrer cette clé sur un Macbook Air qui trainait dans mon bureau (et ça peut être utilisé sur n’importe quelle machine susceptible de booter depuis une clé USB). Sachez que c’est, a priori, un moyen sécurisé de se connecter au net (il utilise le réseau Tor, ce qui permet de chiffrer tous les échanges.

Navigateur Tor de Tails 1.2

Il est aussi possible de simuler un environnement Windows 8, des fois que la NSA soit derrière votre épaule.

Tails 1.2 en mode Windows 8 like

Enfin, dès que vous arrêtez la session il efface le contenu de la mémoire et rien ne reste stocké sur la clé. Pour résumer :

Tails est un système d’exploitation live, que vous pouvez démarrer, sur quasiment n’importe quel ordinateur, depuis un DVD, une clé USB, ou une carte SD. Son but est de préserver votre vie privée et votre anonymat, et de vous aider à :

- utiliser Internet de manière anonyme et contourner la censure ;
- toutes les connexions sortantes vers Internet sont obligées de passer par le réseau Tor ;
- ne pas laisser de traces sur l’ordinateur que vous utilisez sauf si vous le demandez explicitement ;
- utiliser des outils de cryptographie reconnus pour chiffrer vos fichiers, emails et messagerie instantanée.

Je ne sais pas si ça donne des cauchemars à la NSA, mais perso je trouve ça plutôt cool !

vendredi 21 novembre 2014

La barbe (à Rella)...

C’est dans mon air du temps, pourquoi pleurer quand on peut en rire ?

Et croyez-moi, entre les vrais et faux culs, les vrais et faux amis, dans les milieux pros comme perso, les occasions de me marrer ne me manquent pas !

Dubitatif, fataliste pour certains, l’âme de l’homo sapiens ne cesse de m’étonner !

La connerie aussi, des fois quand elle se fait militante et dessert la cause qu’elle voudrait défendre…

La semaine dernière, il y a eu une aventure humaine et extraterrestre absolument extraordinaire ; des scientifiques plus fous les uns que les autres ont réussi à aller poser un module tutti riquiqui sur une comète ! 

La bonne blague !

Et ce n’est pas tout ce truc-là a exécuté plein d’expérience, pris des photos et je ne sais quoi, pour nous envoyer tout cela sur notre bonne vielle terre. 

Et le pire, c’est que l’histoire n’est peut-être pas finie, l’engin pourrait bien se réveiller dans quelques mois à la faveur du soleil.

La belle affaire, pour quelques militantes américaines (avouons le par chez nous le buzz est resté limité), le fait important de tout cela c’est surtout la chemise que portait le chef de mission lors d’une interview à la télé !

Figurez-vous que cette liquette serait une atteinte à la dignité de la femme et montrerais une fois de plus le sexisme du monde de la recherche.

Entendant cela à la radio, je m’attendais à un machin très osé, un truc salace et provocateur…

Je vous laisse juge…



Ridicule

Oh shocking !!!!

Las, il s’agit simplement de représentation de dame styles bande dessinée des années soixante-dix (me rappelle Barbarella et autres héroïnes de feu Métal Hurlant de ma jeunesse), même pas une pointe de sein à se mettre sous l’œil, pas un bout d’érotisme aguicheur (ou alors pour gars vraiment en manque !).

Ce doit être mon côté macho, mais je ne sens pas vraiment le sexisme là, juste la mocheté de la chose ; j’admet le mauvais goût qu’il faut pour porter un truc comme cela. D’un autre côté, je ne suis pas étonné, les rares scientifiques de haut niveau qu’il m’est arrivé de rencontrer étaient tous plus ou moins fous et déjantés ;-)

Bref et pour arrêter là ma diatribe, si je ne doute pas un seul instant des problèmes de sexisme dans le monde scientifique (comme dans la plupart des autres, malheureusement), j’ai du mal à comprendre le procès malsain fait à ce gars qui a quand même été obligé de faire un mea culpa officiel au lieu de profiter sereinement du bonheur de la réussite de son équipe et de ce projet !

Je vous le dis, mieux vaut en rire qu’en pleurer…

Ce mois-çi : Serge Gainsbourg ; la chanson du jour : En rire de peur d’être obligé d’en pleurer.

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En rire de peur d’être obligée d’en pleurer

Comprendre qu’une coquetterie serait susceptible de générer des problèmes sérieux à plusieurs afin de satisfaire le caprice d’un seul, et tenir fermement ce refus, au risque de se brouiller durablement ? Pas vraiment important, mais c’est étonnant je trouve…

En même temps il n’y a rien de grave, c’est même plutôt futile.

J’ai encore passé la nuit à marcher dans les rues noires, habillé d’un simple peignoir plutôt léger et équipé d’un téléphone dont la batterie, qui indiquait 21% la dernière fois que j’avais regardé, se vidait à vitesse grand V.

Mais pourquoi diable avais-je acheté ces billets au meilleur prix, et au détriment de l’horaire, c’était inhabituel ! En plus j’étais normalement le seul à prendre ce train, pas trois. Allez comprendre ce qui se passe dans la tête des gens parfois, en commençant par moi !

Je marche (et je lutte pour avancer) beaucoup dans mes rêves en ce moment. Ce n’est pas vraiment douloureux, mais c’est épuisant, figurativement parlant. Tiens, tout d’un coup, je me demande si cette fatigue virtuelle a un impact sur la qualité de la récupération nocturne.

Je me promène, si l’on peut dire, pas mal dans les villes, pendant mes rêves. Souvent la nuit, avec des ambiances plutôt sombres, de petits immeubles, des rues (pas des avenues) assez larges, mais pas en permanence, parfois il faut que je fasse attention à l’endroit où je pose les pieds, afin de garder mon équilibre. Quelques escaliers en béton aussi, froids et bleutés. J’ai vu des rails, nombreux, avant d’arriver dans le hall bruyant de cette gare ou j’ai hélé un employé pour lui demander mon chemin depuis cette gare de banlieue.

Il m’a répondu en m’indiquant la direction et en me souhaitant bon courage, vu la distance qui me restait à parcourir. Je suis ressorti, ai cherché un taxi, en ai avisé trois collectifs pas tout à fait pleins et qui attendaient d’être au complet avant de partir, mais je ne me sentais pas le courage d’affronter le regard des autres. Alors je suis repassé sous le pont de la voie ferré…

Aucune idée du temps que j’ai passé à déambuler ainsi, probablement jusqu’à mon réveil ce matin. Le temps est bizarrement étiré dans nos rêves ; plonge-t-on dans une autre dimension où la physique a des propriétés différentes ?

Étonnamment j’ai une assez bonne idée du tableau qu’il conviendrait de peindre, probablement en noir et blanc, ou de la photo à faire, et je suis allé chercher un exemple sur le net, sans trouver quelque chose qui se rapproche de cette atmosphère que je retrouve assez souvent. Dans ce qui m’est proposé il y a souvent trop de gens, ou le point de vue est trop élevé, ou l’angle de vue trop large.

« Nighthawks » de Edward Hopper

Finalement c’est une ambiance qui pourrait se rapprocher de Nighthawks de Edward Hopper, pas pour les couleurs cependant, mais avec cette petite pointe de fatalisme désabusé devant les événements qui se suivent sans qu’on ait vraiment le pouvoir de les contrôler ou même de les influencer.

Et puis c’est aussi beaucoup plus contemporain que ce décor qui date des années 30 ou 40. Les personnages qui circulent dans mes rêves sont aussi plus … communs, comme ceux qu’on peut croiser tôt le matin en allant au travail ou tard le soir, avec des vêtements sans forme, avec des cernes fatigués, avec l’absence de lueur dans les yeux, à la sortie des gares de banlieue.

J’essaierais bien de faire une photo qui représente ça. Reste juste à trouver l’endroit et l’heure qui conviendra… Ou alors, la prochaine fois, j’utilise mon smartphone pour photographier la scène. Mais pourquoi diable n’y ai-je pas pensé plus tôt ?

Imaginez un peu la surprise, si le matin au réveil, je découvrais soudain enregistré dans mon téléphone, la photo du rêve de la nuit. Là pour le coup ce serait fantastique, juste sur le bord qui convient de la raison… ou de la folie ?

jeudi 20 novembre 2014

Ça commence comme ça…

Ceci peut-être un motif de guerre…

C’est con un motif de guerre…

Motif de guerre

Des fois il suffit de remplacer un banc par des terres, un territoire, un pays…

Ce mois-çi : Serge Gainsbourg ; la chanson du jour : L’avant guerre c’est maintenant.

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L’avant-guerre, c’est maintenant

L’avant-guerre, c’est maintenant...
Pourquoi parler d'avant guerre, on est en plein dedans :

- guerre des chefs politiques : je ne sais pas combien il en restera au moment de choisir et surtout s'il y en aura au moins un de bon!
- guerre des livres : à qui sera le ou la plus méchant(e) et fera le plus de fric sur le dos de l'autre!
- guerre de religions : chacun agissant pour et avec l'aide de son dieu!
- guerre des écolos mélangés à de faux écolos qui font barrage à des projets de réserve d'eau. Projet qui est un bon voire peut-être un mauvais projet. Ça dépend de quel côté vous vous placez!
- guerre contre la guerre parce que la guerre c'est mal!

Bref, choisissez votre guerre, si vous êtes encore "avant" rassurez-vous, si vous ne la rattrapez pas c'est elle qui le fera!

PS : Pas très joyeux mes billets en ce moment!

Artiste du mois de novembre : Serge Gainsbourg
la chanson du jour : L’avant-guerre, c’est maintenant


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La liste des artistes et des chansons.

C'est comme ça…

Je ne suis pas vraiment certain d’en avoir, des idées sales. Surtout en ce moment où j’aurais plutôt tendance à positiver même les plus mesquins tracas de la vie, de m’amuser de situation ubuesque, voir grotesque qui en d’autres temps m’aurait plongé dans des affres sombres et glauques.

Pour avancer un tant soit peu, mieux vaut rigoler des petits soucis et continuer de croire aux belles choses.

Certes, il peut m’arriver quelques fois, si d’aventure je croise une femme plutôt à mon goût, de laisser mon imagination vagabonder vers des sentes que certains culs bénis pourraient trouver immondes.

Ou encore, de souhaiter occire tels ou tels Fâcheux, de la manière la plus cruelle qu’il soit ; loin de passer à l’acte, il s’agit juste de défouloirs de l’esprit !!!

Par contre quand j’entends ce que j’entends aux infos, ou au zinc de mon bistrot favoris, quand je vois certains livres qui s’étalent dans les librairies et les médias, je me dis que les idées sales et nauséabondes sont malheureusement bien présentes ici-bas…



Ce mois-çi : Serge Gainsbourg ; la chanson du jour : Mes idées sales.

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mercredi 19 novembre 2014

Mes idées sales

Mes idées sales ne sont pas aussi sales que celles de certains.

Comme par exemple ceux qui tiennent à tout prix exploiter les sables bitumineux au Canada, au mépris de la qualité de vie de leur propres descendants.

Comme par exemple ceux qui tiennent à tout prix imposer la charia à toute la planète, au mépris de toutes les libertés fondamentales qu’on a eu tant de mal à imposer, et encore pas partout.

Comme par exemple ceux qui tiennent à tout prix… (Remplir ici votre combat/consternation/effroi du moment)

Idées noires - ©Franquin

Idées sales, idées noires…

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