vendredi, 24 janvier 2014

Aujourd'hui badouilleur

Pas badouilleur pour un rond, d’ailleurs je me souviens plus, à part pour les festivités de fin d’année, quand j’ai pu la dernière fois passer une partie de la nuit à faire la fête.

Bref.

Hier, première prise en main de la moto, premiers kilomètres, et gros mal aux cuisses hier soir, c’est décidément pas la même technique de pilotage. J’ai des souvenirs (physiques) de plateau (pendant le permis moto) qui me reviennent. Le métier qui rentre comme on dit.

Je ne suis pas à l’aise, c’est clair, les automatismes ne sont pas encore installés — j’attends qu’ils soient là avant de jouer avec tous les boutons, y’en a plein partout —, et je redouble de prudence ce qui m’amène à doubler quasiment le temps de mes trajets. En même temps ça me fait plus longtemps sur la machine, c’est cool !

Côté pilotage je trouve la 1re un peu dure à enclencher depuis le neutre ; peut-être ne suis-je pas assez viril sur le sélecteur — en même temps je ne voudrais pas le casser ! Sinon la boite est un régal, super permissive et j’apprends petit à petit à doser embrayage et accélération. Quoi qu’il en soit c’est beaucoup moins mou que le scooter et paradoxalement beaucoup plus confortable, surtout sur des chaussée dégradées.

C’est le pied !


Après quelques recherches, c’est cool internet, j’ai trouvé cet article sur les boîtes de vitesse BMW qui dit entre autre :

De même, il est normal d’avoir parfois du mal à passer la première lorsque l’on se trouve au point mort: un système de verrouillage arrête la pignonnerie au bout d’environ trois secondes quand la boîte n’est plus entraînée (c’est-à-dire, lors d’un débrayage). Il faut donc embrayer une fois avant d’enclencher le premier rapport.

Il faut donc juste que je m’adapte :-)

jeudi, 23 janvier 2014

Faut rigoler…

Je trouve que l’obsolète du jour tire vers la marisson[1] quand justement j’ai envie de regarder la vie en un peu plus rose. C’est vrai quoi, il y en a marre de toujours voir le côté sombre des choses ; dimanche je pars pour 15 jours de tourner pour une boîte de machinerie agricole, visiter un peu de pays (Amiens, Auxerre, Segre, Poitier, Agen), sortir du train-train quotidien… Allez rions, amusons-nous, c’est juste plus agréable ;-)



(353/366)

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Marrisson : Tristesse, chagrin.

Note

[1] Marrisson : Tristesse, chagrin.

Aujourd'hui marrisson

Ô marrisson, ô crève-cœur, ô chagrin, ô tristesse, … Je me demande si je n’en fait pas un peu trop là ? Bref, hier soir, message perso sur un forum sur lequel j’interviens de temps à autre, pour me demander si mon scooter était à vendre, en l’état.

C’est con, quatre jours seulement après l’avoir cédé pour la casse, il appert que j’aurais peut-être pu en tirer quelque chose…

Tant pis, ça n’est pas très grave et je suis en fait assez soulagé de ne plus l’avoir sur les bras.


Je suis toujours assez stupéfait de la baisse conséquente de spam sur ce blog. De plus d’un millier par semaine, disais-je il y a quelques jours, je suis passé à à peine plus d’une centaine. Je n’ai pourtant pas entendu parler du démantèlement d’un réseau de PC zombies.

Alors pourquoi ?


Il arrive parfois que l’œil soit accroché par un paysage, une lumière et c’est pour cette raison que j’ai fait cette photo avec mon téléphone un jour en revenant d’aller faire quelques courses :

Usine Panhard-Devasseur, Paris 13e

C’est pourtant un coin que je parcours régulièrement depuis quelques années ; ce n’est que le week-end dernier que mon œil a été capturé.


Check-list du matin :

  • Portefeuille avec le permis, l’assurance, …
  • Les tendeurs pour rapporter les couvercles de valise étroits.
  • Le casque et les gants, le blouson, les lunettes.

J’ai fait le pari qu’il ne pleuvrait pas sur mon chemin vers le boulot, ce matin, et j’ai laissé mon sur-pantalon de pluie au taf. J’espère avoir eu raison…

mercredi, 22 janvier 2014

En avant…

Haha, je trouverais amusant de pouvoir dire que cette haha[1] fut un haha[2] sur la route du succès, douce vengeance, mais ce ne serait que pur mensonge, bien au contraire, que voulez vous…

(352/366)

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Notes:

[1] Haha : Au féminin, femme d’une grande laideur.

[2] Haha : Obstacle inattendu et désagréable sur le chemin que l’on suit. 

Aujourd'hui haha

Samedi matin dernier, alors que je jetais les bouteilles en verre dans la poubelle destinée à cet effet, vous savez celle avec l’orifice caoutchouté qui permet de ne pas recevoir d’éclats de verre lorsque parfois la bouteille explose au contact de ses congénères, j’ai été victime d’une agression d’une rare violence, si si, vous allez voir…

J’étais dans le réduit à poubelle, un gros sac contenant toutes les futures victimes, posé sur le haut de la poubelle, et duquel je sortais consciencieusement chacune des bouteilles pour les glisser dans l’orifice idoine. Ce faisant, j’ai entendu puis vu la vielle voisine acariâtre — pas tout à fait haha, sauf peut-être dans la tête, allez savoir — approcher, ouvrir la porte quasiment fermée et me sortir :

Vous devriez monter sur la poubelle, ça ferait plus de bruit !

Et la voilà repartie avant même que je n’ai pu lui répondre quoi que ce soit, surtout avec mon sac plus ou moins en équilibre que je maintenais d’une main pendant que de l’autre je m’employais à le vider. Je suis resté quelques secondes stupéfait, en me demandant qu’elle était la bonne technique pour envoyer ce verre par le fond en silence et l’envie subite de lui demander des explications.

Je me suis aussi demandé si en montant sur la poubelle, je pouvais effectivement faire plus de bruit, mais à part en visant soigneusement et donner plus de hauteur à la position de la bouteille, je ne voyais pas comment…

J’ai finalement pris le parti de finir mon ouvrage, en y mettant du coup un peu plus de cœur, du genre dans le sens vertical beaucoup plus énergique, ce qui devait surement augmenter d’un ou deux décibels le bruit produit. Et toc la vieille !

Je me suis promis, tout de même, la prochaine que je la croiserai, de lui demander le secret de cette technique silencieuse. D’ailleurs, viens-je soudain de penser, comment fait-elle pour se débarrasser les bouteilles en verre ?

Quoi qu’il en soit, je jubilerai un jour de me retrouver dans la situation opposée et lui sortir sa propres tirade !

mardi, 21 janvier 2014

Résumé…

Désultoire[1] , c’est tout à fait le style de ce blogue, un jour une connerie, le lendemain une réflexion qui me turlupine, un petit côté intimiste ou les pieds dans le plat, un sujet trop sérieux et du grand n’importe quoi le jour d’après…

Au final, je crois que c’est pour cela qu’il m’est essentiel ;-)

(351/366)

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Notes:

[1] Désultoire : qui passe d’un sujet à un autre.

21/01 : désultoire

Au risque d’enfoncer des portes ouvertes (et de rabâcher) : ce blog est délibérément désultoire.

Aujourd'hui désultoire

Aujourd’hui je ne serai pas désultoire, comme j’ai pu l’être dans quelques uns de mes billets précédents et vous parlerai uniquement de la future liste à venir. Celle-ci comporte treize sous-listes, une pour chaque mois de l’année, plus une supplémentaire que vous pourrez utiliser à votre gré, soit en remplacement d’une des douze listes mensuelles, soit après les avoir terminées en l’utilisant pour le mois de février 2015, voire pourquoi pas en terminant en janvier 2015 avec deux billets par jour.

Le principe général reste le même, une proposition par jour avec laquelle il faudra composer. Vu ce qu’est cette liste, dont je signale au passage qu’elle nous a été concoctée par quelqu’un dont je tairai le nom, au moins pour l’instant — nous verrons plus tard avec celui-ci, s’il veut le dévoiler —, je pense qu’il est préférable d’assouplir les contraintes :

  • Un texte, ou une photo ou une illustration par jour.
  • Il faudra que ça ait un rapport avec la proposition du jour, de loin ou de près, au sens propre ou au sens figuré.
  • Pas de limite en nombre de mots, mais vous pouvez vous en fixer une si vous choisissez l’écriture pour jouer.

Il faut que ça reste ludique et pas une obligation à laquelle vous vous soumettez de gré ou de force. Voyez plutôt ça comme un rendez-vous quotidien avec vos lecteurs, une façon de conserver un lien, de créer un fil tout au long de l’année.

Et donc cette liste se nommera : « 397 … à prise rapide »[1].

On joue aux devinettes ?

Note

[1] 397 parce que 366 plus le mois supplémentaire qui comporte 31 jours.

Rupture...

Moi je n’aime pas les histoires de quitterie[1] , c’est toujours triste ; on m’en a encore raconté une aujourd’hui. Je suis constamment étonné de voir un grand amour se transformer brusquement en haine dure et froide…

Il paraît que c’est la vie…

Peut-être…

Mais c’est dommage dit le côté Bisounours qui est en moi…

(350/366)

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Quitterie : Brouille à la suite de laquelle onse quitte.

Notes:

[1] Quitterie : Brouille à la suite de laquelle on se quitte.

lundi, 20 janvier 2014

Aujourd'hui quitterie

L’obsolète du jour me donne envie de faire un récapitulatif des entreprises et services avec lesquels j’ai eu maille à partir cette année. Alors dans le désordre :

  • Suzuki, marque de mon défunt scooter — il est parti à la casse —, qui plutôt que de prendre en compte une fragilité connue depuis des années et y remédier, préfère faire la sourde oreille et ensuite se plaindre des ventes mauvaises de ce modèle. Ce qui est dommage parce qu’à part cette fichue boîte CVT, c’est une sacré bonne machine. Je pensais les marques japonaises plus soucieuses de la fiabilité et de l’image de leur produits, c’était peut-être une erreur de ma part. Du coup j’ai choisi une autre marque (allemande) pour la suivante, je verrai à l’usage si c’est mieux, pareil ou pire.
  • Air-France et sa filiale Hop — mais ne dites pas à Air-France qu’Hop est une de ses filiales, je ne sais pourquoi, ils n’apprécient pas, ou plutôt se renvoient la balle dès qu’on les titille un peu — qui profitant d’un transfert (partiel) de leurs lignes régulières vers le modèle à bas-coût (enfin c’est ce qu’ils disent, je n’ai noté aucune différence de prix sur le trajet régulier du minot), en profitent pour supprimer des services pourtant utiles (Grand UM en l’occurrence). Leur montage est tellement opaque que j’ai fini par comprendre seulement au bout de quelques mois que la ligne qu’emprunte régulièrement le fiston est opérée par Air-France avec des avions qui appartiennent à Hop[1].
  • Une mention spéciale à ma banque — BNP Paribas pour ne pas la nommer[2] — qui ne répond quasiment jamais aux messages que je leur envoie via leur messagerie sécurisée — une seule réponse sur une huitaine de message, c’est peu je trouve —. J’ai des souvenirs d’avoir été contacté de manière beaucoup plus diligente quand j’avais un (gros) solde débiteur sur mon compte-chèque. J’aurais appris au passage, via leur community manager sur Twitter — qui répond beaucoup plus vite, lui ou elle —, qu’ils ont des soucis de traçabilité avec les comptes épargne et que par conséquent ils interdisent dorénavant les virements vers l’extérieur depuis ceux-ci[3]. Étonnamment une demande écrite de ma part suffira pour qu’ils fassent eux-même ce virement, malgré les soucis de traçabilité. Allez comprendre !

Et vous, c’est quoi vos quitteries récentes ou récurrentes ?

Notes

[1] Pour résumer, la liaison Paris Clermont-Ferrand est opérée par Air-France (Hop ne vend pas de billet pour cette liaison) mais comme ce sont des avions Hop, le service UM n’est plus assuré pour les plus de 12 ou 13 ans alors qu’il l’est toujours pour les petits. Et comme je n’ai jamais vu plus qu’un accompagnant quel que soit le nombre d’enfants à prendre en charge, j’avoue que ça me laisse assez perplexe. Allez comprendre !

[2] J’aime assez cette façon somme toute cynique de citer quelqu’un sans nommer tout en nommant.

[3] C’est paraît-il une contrainte européenne.

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