Les 366 obsolètes à prise rapide

Des fois quand je regarde en arrière, je rêve d’uchronie ^[1] , de machine à remonter le temps, d’essayer de tenir compte de mon savoir d’aujourd’hui, de mes erreurs d’hier, et puis, je sais bien que ce n’est qu’illusion, ce qui devait être a été, et ce qui sera, et bien…

On verra cela demain…

Tout le reste n’est qu’utopie…

(163/366)

Tout le problème d’être son propre chef, c’est qu’il est difficile de se rebéquer ^[1]  !

Je ne suis pas toujours d’accord avec moi-même sur la façon d’agir, de faire, de penser !

Bref sur les choses de la vie !

Alors forcément je m’engueule, je me traite de tous les noms ; même que des fois je ne suis pas certain de réussir à me réconcilier !

(162/366)

Notre petite turlutaine ^[1]  avec mon frangin, c’est de, dès que le temps le permet, faire côte de bœuf au gros sel, plancha et autres petits plaisirs entourés d’amis et de bons vin.

Je vous laisse deviner ce que l’on fait ce soir ? (petit indice, je viens d’acheter 4 cote de boeuf !)

(161/366)

Faites-moi des chatouilles, des papouilles, des pétouilles au travail même : que je sois pliée en deux, que je rie, que je m’esclaffe à en avoir les abdos tiraillés. Faites-moi mille gogues, faites-moi retrouver ma légèreté, ce sourire si simple qui dessine la plus dansante des silhouettes.

(Gogue : plaisanterie, divertissement)

Depuis quelques jours et l’arrêt du billet quotidien chez Mirovinben, j’ai moi aussi levé le pied, tellement que je n’avais rien écrit ici jusqu’à aujourd’hui, par manque de temps motivation sans doute.

Et puis une nouvelle hier est tombée, je m’y attendais forcément, suivant l’évolution de discussions sur la mailing-liste du projet, mais tout de même, j’ai eu un choc qui a même réussi à perturber mon sommeil que j’ai plutôt facile d’habitude.

Bref, sans jouer le trigaude^[1], vous avez compris qu’il s’agit de Dotclear, un outil que j’utilise au quotidien pour mes projets perso et que j’ai installé pour un nombre désormais conséquent d’amis et clients. On ne peut pas dire qu’il ait infatué^[2], tant sa simplicité d’utilisation, d’installation et de personnalisation en font un outil idéal pour tout projet de (multi)blog ou petit site.

Du coup, ça m’a donné un gros coup de fouet, je me suis dit, hey, vieux muche^[3], maintenant tu arrêtes de tergiverser, de te créer des pointilles^[4] à tout va tout seul, tu écris, tu dis ce que tu veux, mais tu y vas !

Alors voilà. Je ne pouvais qu’écrire ces quelques mots pour dire mon attachement à cet outil et l’envie que j’ai qu’il se développe encore, malgré l’adversité et le manque actuel de personnel / motivation / temps. J’espère pouvoir d’ailleurs y participer à la hauteur (modeste) de mes compétences. Car rien n’est perdu.

Ce billet ne serait pas complet si je ne faisais pas un résumé des épisodes précédents (en y casant les mots magiques bien entendu).

Ainsi, en fin de semaine dernière, j’ai gobelotté^[5] un fameux breuvage à bulles et fermenté dans des cuves, dont j’ai pu comprendre les différentes formes et fonctions lors de la visite passionnante d’une brasserie.

Le lendemain, je ne pus que constater avec joie les framboises ubéreuses^[6] qui d’un coup se sont mises à mûrir dans le jardin. À nous les tartes, clafoutis, pana cotta au coulis de framboise !

PS : Aucun céladon^[7] n’a été maltraité dans ce billet.

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*Je continue les titres en soldes si je veux !