La mer me manque. Je pourrais probablement rester longtemps, assis sur un rocher, sur un banc, à observer ses mouvements, sa musique, son fracas, sa brutalité et son alliciante manière de bouger.
Certains textes ou certains dessins me font le même effet. Ceux-là par exemple, surtout que j’y retrouve des choses que d’autres ne voient pas car je connais leurs auteurs.
Parfois il m’arrive de rester longtemps à lire et relire un bout de code, étrangement, simplement pour tenter de m’imprégner de la façon de faire
particulière. Malgré les tentatives d’harmonisation, de standardiser ce à quoi doit ressembler du code, on arrive encore, souvent, à repérer le style
de celui qui l’a écrit.