Chaque fois, le tain renvoie un visage de guingois. Je penche la tête un peu à gauche, et hop, la tempe s’élargit.
Je baisse le visage, il se ratatine comme une guêtre de danseuse au terme de trois heures d’entraînement.
- Vieux miroir, dis-moi que je reste la plus belle !
- Bien sûr, tu l’es, puisque tu es la seule.