Je cultive mon envie de code, ces dernières semaines, n’y mettant les doigts qu’à la marge et savourant à chaque fois le plaisir des idées qui germent et que je mets de côté pour plus tard. Un mode hors-ligne par ci, un petit module dynamique de plus par là, j’aime remplir mes listes de choses à faire avec ce genre d’items.
Plaisir d’avoir du monde pendant les vacances, surtout avec la famille cette année et re-découverte agréable des nièces et neveu, toujours aussi attachants et espiègles, pleins de vie. On s’amusait de les voir débarquer le matin, surtout les deux plus jeunes, parce que la maison louée par le frangin ne disposait pas d’une connexion internet ! Ils ont des priorités bien à eux et une vie en ligne plutôt fournie.
Observer les premiers émois de la plus jeune qui découvre les « surfers à tablettes » à la pointe de la Torche ; lieu qui deviendra un must-to-be des trois semaines passées ici. Retrouver le plaisir de la baignade, à la faveur d’une journée plus chaude que d’habitude et avec une mer qui ne saisit quasiment pas lorsque j’arrive au niveau de l’estomac. Une heure à barboter, nager. C’était bien !
Partager une petite complicité de joueur vidéo avec le neveu qui est assez du genre « grenade dégoupillée » parfois, dixit son géniteur. On partage aussi cette facette avec le frangin. Question d’éducation, de gènes ou je ne sais quoi, mais on s’y reconnait.
Coups de soleil ; ça ne m’était pas arrivé depuis plus d’une décennie…
Sollicité, pour faire des photos, l’envie n’est pas assez prégnante pour que je m’en réjouisse au delà de la simple flatterie d’avoir été reconnu pour ce que j’avais fait l’année passée. Je crois que je vais revenir à un statut anonyme pour le prochain Paris-Web.
Je ne m’interdis pas toutefois de changer d’idée, plusieurs fois, d’ici encore une semaine, avant de prendre une finale décision.
Observer les amis vivre avec nous, pendant quelques jours et plus ; savourer aussi les moments calmes, à deux voire tout seul. Prétexter une course urgente pour filer faire un tour en moto, voire passer la journée ailleurs. Découvrir de nouveaux coins à explorer, bien qu’on commence à bien connaître le quartier.
Et puis toujours ce goût retrouvé pour la photo, avec le gros ou le mobile, les vacances sont décidément plus belles que mes journées de travail ; c’est étrange !
Enfin, mais c’est probablement du long cours, je suis assez curieux d’observer l’influence qu’aura eu ce lieu et ces jours sur l’ami qui écrit, plus bas à droite, du haut de son perchoir. L’avenir me le dira peut-être ?