De la pluie, de l’eau douce, des larmes, de l’eau salée, des embruns, des pensées…
Je me serais bien assis quelques instants sur ce banc, hier, mais il pleut, encore, dans la tête des gens, des amis, des copains… Alors je lis, les nouvelles, les réactions — et forcément les récup’ de quelques cons professionnels —, j’ai peur que l’habitude nous envahisse, à force.
On cherche quoi dire, mais l’abattement est trop présent, sentiment d’impuissance, encore, toujours…
Ce matin quand je me suis réveillé et que j’ai regardé dehors par la porte-fenêtre, j’ai vu que l’océan des larmes n’avait pas disparu sur la terrasse.
Sonné et vivant !