Mais pourquoi diable le conducteur de cette Fiat 128 rouge — j’ai failli en avoir une il y a très très longtemps, mais bleue — est venu directement en face de moi, quittant sa voie pour venir sur les deux qui allaient dans mon sens ? Et avant même de comprendre je me suis retrouvé à sauter par dessus la bagnole avec ma moto… Et c’est là que je me suis réveillé, vers 3h30 du matin ! Aucune idée de la manière dont j’ai atterri ensuite, c’est ballot, je m’inquiétais pour l’état de ma machine !
De retour chez Morphée après une petite heure de lecture, je me suis perdu, comme souvent — mais, pas con, j’ai bien noté pour la prochaine fois que je devais tourner à droite dès l’entrée pour pouvoir me perdre à nouveau au même endroit —, dans ce labyrinthe d’un établissement d’une administration pour finalement me retrouver dans un bureau où plein de gens allaient et venaient ; discussion avec tout le monde, sur ma retraite récente, sur les temps d’attente pour obtenir des papiers comme pour avoir un rendez-vous chez un toubib… On comprend vite quelles sont mes préoccupations du moment !
Couché à 22 heures samedi soir et endormi à 23h, levé comme une fleur à 8h, mes nuits sont copieuses ces temps-ci, c’est agréable !