Kyrielle d’envies depuis la lecture de cet ouvrage.
Envie de prendre l’appareil et d’aller me promener dans Paname et de tirer le « portrait » aux quidams de passage, bien que certains endroits, en particulier Belleville, soit moins propices de nos jours pour faire de la photographie, envie de noirs et blancs veloutés, de lumières et de contrastes, de coins et de recoins…
J’envie tout ceux qui, il y a quelques décennies, pouvaient prendre le temps de fixer sur la pellicule le passant, ces jours où les photographes étaient suffisamment rares dans la rue pour qu’ils ne soient pas considérés comme malotrus ou indiscrets, quand bien même ils l’étaient parfois…
Je me souviens m’être essayé, une fois, à ce que j’avais appelé alors « Autopsie d’un déclic » et c’est très exactement ce que j’ai retrouvé dans ce livre, page après page, planche contact après planche contact, photo après photo.
Un régal, vraiment !
1 De Sacrip'Anne -
:)))))